Antoine de Silly
( ? - 1609)
Comte de La Rocheport, Damoiseau de Commercy, Baron de Montmirail, de Torfou
Gouverneur d’Anjou (1583 et 1588)
( ? - 1609)
Comte de La Rocheport, Damoiseau de Commercy, Baron de Montmirail, de Torfou
Gouverneur d’Anjou (1583 et 1588)
Ecartelé : I et IV, contre-écartelé : 1 et 4, d’hermine, à la fasce vivrée de gueules, accompagnée en chef de trois tourteaux de gueules (Silly) ; 2 et 3, d’azur, à trois bandes d’or, à la bordure de gueules (La Rocheguyon) ; II et III, contre-écartelé : 1 et 4, d’or, à la croix de gueules, chargée de cinq coquilles d’argent et cantonnée de seize alérions d’azur (Montmorency-Laval) ; 2 et 3, d’azur, semé de fleurs de lys d’or, à la cotice componée d’argent et de gueules, brochante sur-le-tout (Evreux) ; sur-le-tout d’azur, semé de croisettes recroisettées au pied fiché d’or, au lion d’argent, armé et lampassé de gueules, brochant sur-le-tout (Sarrebruck).
Bonjour,
RépondreSupprimerJe me demandais au vu de ce blason fort esthétique s'il avait existé des efforts de simplification auprès de tels écartelés, ou si cela posait des problèmes (diplomatiques, généalogiques, administratifs).
Par exemple, on aurait pu imaginer : Écartelé : 1 Silly, 2 La Rocheguyon, 3 Montmorency-Laval, 4 Évreux, et sur-le-tout.
Merci de votre réponse,
A moins que cela n'ait jamais été envisagé en héraldique ?
RépondreSupprimerJe crois que c'était surtout un choix personnel, reflétant à la fois des motivations esthétiques (un grand nombre de quartiers "posait" une situation) et généalogiques (le I et le IV viennent de "Papa", le II et le III viennent de "Maman", le sur-le-tout Sarrebruck venant de "Grand-Mère").
RépondreSupprimerN'empêche, si aujourd'hui réaliser ceci avec les bons outils doit être relativement rapide (surtout en reprenant des éléments existants), qu'est-ce qu'ils ont dû en baver les artisans de l'époque pour représenter cette surcomposition.
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